Une exposition sur les performances de la recherche scientifique et technologique iranienne se tiendra au siège de l’UNESCO, à Paris du 2 au 6 février 2009.
Le directeur général des sciences, de la recherche et des technologies au département du ministère des relations publiques, Hashem Dadashpour, a été désigné par l’agence d’information de la République islamique d’Iran (INRA), pour annoncer que l’événement faisait partie du programme-anniversaire de la Révolution islamique de 1979.
La commission nationale iranienne de l’UNESCO, qui est affiliée au ministère, est le principal organisateur, ainsi que le responsable de la planification, et, bien évidemment, du versant politique de la tenue de l’événement.
L’accent à été mis sur le fait que tous les instituts, organisations, universités et centres de recherches et de technologie pouvaient soumettre les plus remarquables de leurs travaux de recherches au secrétariat de la commission nationale de l’UNESCO de sorte qu’ils soient présentés lors de l’événement. En d’autres termes, les vraies richesses scientifiques de l’Iran ont été invitées à être les outils au service d’une tentative de légitimation politique. Le prestige en parure pour l’anniversaire et le salut de l’actuel régime.
L’exposition cherchera à présenter les compétences scientifiques de l’Iran, ses performances en matière de recherches et de technologies, dans trois sections du système éducatif iranien : les sciences, à savoir les performances de la recherche à un niveau international, ainsi que dans des secteurs sur lesquels l’UNESCO a mis l’accent, tels que l’écologie, ou encore les problèmes de la jeunesse et des femmes, problèmes dont l’Iran est très au fait, à considérer la condition des femmes ainsi que les chiffres alarmants concernant la dérive de la jeunesse en matière de drogue, ou plus largement de conditions financières.
L’UNESCO est une organisation créée en 1954 avec pour but de promouvoir la paix et la sécurité dans le monde via une coopération internationale dans les champs éducatifs, scientifiques et culturels. Elle peut aussi être l’outil d’un travestissement de nombres de problèmes sous couvert d’une présentation édulcorée et éducative de la surface des activités du régime.
Le directeur général des sciences, de la recherche et des technologies au département du ministère des relations publiques, Hashem Dadashpour, a été désigné par l’agence d’information de la République islamique d’Iran (INRA), pour annoncer que l’événement faisait partie du programme-anniversaire de la Révolution islamique de 1979.
La commission nationale iranienne de l’UNESCO, qui est affiliée au ministère, est le principal organisateur, ainsi que le responsable de la planification, et, bien évidemment, du versant politique de la tenue de l’événement.
L’accent à été mis sur le fait que tous les instituts, organisations, universités et centres de recherches et de technologie pouvaient soumettre les plus remarquables de leurs travaux de recherches au secrétariat de la commission nationale de l’UNESCO de sorte qu’ils soient présentés lors de l’événement. En d’autres termes, les vraies richesses scientifiques de l’Iran ont été invitées à être les outils au service d’une tentative de légitimation politique. Le prestige en parure pour l’anniversaire et le salut de l’actuel régime.
L’exposition cherchera à présenter les compétences scientifiques de l’Iran, ses performances en matière de recherches et de technologies, dans trois sections du système éducatif iranien : les sciences, à savoir les performances de la recherche à un niveau international, ainsi que dans des secteurs sur lesquels l’UNESCO a mis l’accent, tels que l’écologie, ou encore les problèmes de la jeunesse et des femmes, problèmes dont l’Iran est très au fait, à considérer la condition des femmes ainsi que les chiffres alarmants concernant la dérive de la jeunesse en matière de drogue, ou plus largement de conditions financières.
L’UNESCO est une organisation créée en 1954 avec pour but de promouvoir la paix et la sécurité dans le monde via une coopération internationale dans les champs éducatifs, scientifiques et culturels. Elle peut aussi être l’outil d’un travestissement de nombres de problèmes sous couvert d’une présentation édulcorée et éducative de la surface des activités du régime.
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