Amélie Chelly (S. Enayatzadeh)
La société hojjatieh est une organisation chiite sectaire qui apparaît en 1953, et qui est officiellement interdite depuis 1983. La secte naît en premier lieu d’une opposition au bahâïsme1, et se fonde sur un millénarisme actif : le chiisme traditionnel duodécimain reconnaît l’autorité de douze imams dont le dernier, Mahdi, aurait disparu en 874. L’eschatologie chiite repose donc sur son retour qui doit marquer l’avènement de temps de paix et de justice, succédant à l’apocalypse. La secte hojjatieh a une lecture activiste de ce millénarisme : l’homme doit hâter l’arrivée de Mahdi. Le fondement anti-bahâiste de ce mouvement sectaire (l’appellation initiale de la société hojjatieh était d’ailleurs l’andjoman-e zed-e bahâi, « la société anti-bahâï ») se trouve ainsi très lié à cette vision activiste : le bahâïsme, religion fondée au XIXè siècle, définie comme une secte par le chiisme traditionnel, est née de l’idée que l’imam attendu est déjà revenu. Selon le bahâïsme, le guide des fidèles est réapparu sous les traits du Seyyed Mirzâ Ali al Mohammad, maître du fondateur de cette religion nouvelle, le Bahâ’ullâh.
La société hojjatieh est une organisation chiite sectaire qui apparaît en 1953, et qui est officiellement interdite depuis 1983. La secte naît en premier lieu d’une opposition au bahâïsme1, et se fonde sur un millénarisme actif : le chiisme traditionnel duodécimain reconnaît l’autorité de douze imams dont le dernier, Mahdi, aurait disparu en 874. L’eschatologie chiite repose donc sur son retour qui doit marquer l’avènement de temps de paix et de justice, succédant à l’apocalypse. La secte hojjatieh a une lecture activiste de ce millénarisme : l’homme doit hâter l’arrivée de Mahdi. Le fondement anti-bahâiste de ce mouvement sectaire (l’appellation initiale de la société hojjatieh était d’ailleurs l’andjoman-e zed-e bahâi, « la société anti-bahâï ») se trouve ainsi très lié à cette vision activiste : le bahâïsme, religion fondée au XIXè siècle, définie comme une secte par le chiisme traditionnel, est née de l’idée que l’imam attendu est déjà revenu. Selon le bahâïsme, le guide des fidèles est réapparu sous les traits du Seyyed Mirzâ Ali al Mohammad, maître du fondateur de cette religion nouvelle, le Bahâ’ullâh.
La
société hojjatieh
qui, rappelons-le, est dissoute et interdite depuis 1983, provoque un
regain d’inquiétude depuis quelques années. Elle fait parler
d’elle au travers de rumeurs faisant du président Mahmoud
Ahmadinejad, ou encore de son bras droit l’ayatollah Mesbâh Yazdi,
des membres secrets de cette secte. Au-delà de l’éventuelle
appartenance de l’actuel président de la République islamique à
ce mouvement sectaire, c’est la question du rôle souterrain de
l’organisation au sein du pouvoir qui se pose. Cependant, il faut
noter que la résurgence de cette société ne renait pas sous les
traits de son apparition première : c’est d’un mouvement
néo-hojjatieh
qu’il faut désormais parler. Un mouvement qui garde sa ligne de
conduite millénariste mais qui n’a plus, par exemple,
l’anti-bahâïsme pour fondement existentiel. L’appellation
« néo-hojjatieh »,
encore bien rare et bien peu circonscrite par les analystes, est
généralement employée pour désigner les successeurs de la
société. Or le concept nécessite une définition nouvelle :
le néo-hojjatieh
se distingue bien du mouvement dont il est issu, tant d’un point de
vue doctrinal, que d’un point de vue organisationnel (notons qu’en
plus, la dissolution en 1983 de cette société a été une
auto-dissolution2).
La société a donc été aussi longuement formée par un
fonctionnement souterrain que par une existence officielle. Passée à
clandestinité, elle reste, dès le lendemain de sa dissolution, un
réseau bien implanté dans les administrations, et parmi le puissant
cercle des bâzâri.
Ce sont tout d'abord des raisons d'ordre historique et politique qui
ont ainsi dessiné la sphère d'influence de la société secrète :
à l'heure de la révolution, le soutien du fondateur de la société
hojjatieh,
Halabi3,
à la République islamique – plus par aversion pour les
communistes et plus largement pour les courants gauchistes que par
adhésion idéologique – aura valu à plusieurs membres de la secte
de se voir attribuer des postes importants dans les administrations.
La présence de la hojjatieh
mahdaviyeh4,
dans les rangs de l'élite pourrait aussi être attribuée au fait
que nombre de membres du pouvoir politique sortent du centre
théologique Haqqani de Qom. Il est vrai que l'appartenance de
l'ayatollah Mohammad Taqi Mesbâh Yazdi, bras droit de Mahmoud
Ahmadinejad et directeur de l'école Haqqani, à la secte hojjatieh
n'est pas clairement prouvée, mais elle reste de notoriété
publique. L'ayatollah est considéré comme le plus haut dirigeant de
l'association. La chose reste hypothétique. D'autant que les
activités de Mesbâh Yazdi seraient aussi contradictoires
qu'ingénieuses : à la fois directeur de l'Institut pour la
Recherche de l'éducation de l'Imam Khomeyni et du supposé centre de
diffusion des doctrines hojjatieh,
Haqqani, l'ayatollah serait à la fois lié à une institution
servant le velâyat-e
faghih5,
et à une école dont l'appartenance doctrinale l'exclurait.
L'influence
de la hojjatieh
a, depuis sa naissance, toujours été le fait d'une lutte contre les
mouvements de gauche6.
Même à l'heure de sa vie clandestine, si l'association a gagné du
pouvoir – et en gagne encore – c'est parce que la République
islamique voit en elle plus une alliée contre l'opposition de
gauche, qu'une menace face au velâyat-e
faghih
qui est pourtant le fondement de l'actuel régime. En 1989, à la
mort de Khomeyni, la secte gagne là encore du terrain :
Khâmenei, successeur de Khomeyni, essaie d'épurer les rangs du
gouvernement des éléments les moins conservateurs. Il se rapproche
donc de Mesbâh Yazdi en exploitant son opposition idéologique à la
gauche et au réformateur Mir Hosseyn Moussavi, premier ministre sous
Khomeyni. Même si cela n'a pas empêché un réformateur d'accéder
à la présidence en 1997 (Mohammad Khâtami), ce rapprochement a
permis à la secte de se déployer et de poursuivre un développement
doctrinal, celui-là même que nous appelons néo-hojjatieh.
Le
régime procède toujours à des arrestations. Le ministre des
renseignements et de la sécurité, Heydar Moslehi, annonçait en
2010 la condamnation de plusieurs de ses membres localisés à Qom.
Pour autant, on soupçonne de hauts dignitaires tels que Mahmoud
Ahmadinejad d'appartenir à l'association clandestine. Ce dernier nie
tout lien7,
ce qui d'ailleurs paraît logique étant donné le paradoxe
qu'impliquerait une telle position (Mahmoud Ahmadinejad serait le
président d'un régime dont la doctrine hojjatieh
refuserait la nature). L'appartenance du président à la secte tient
plus à ses relations qu'aux grandes raisons qu'offrent
habituellement les analystes pour la prouver : les éléments
apportés reposent d'abord sur les déclarations du président sur le
retour imminent de Mahdi. Ceci ne prouve rien, du simple fait que la
République islamique chiite se fonde sur la guidance religieuse du
politique en attendant le retour de l'imam du temps. Ensuite, on
avance pour preuve les propos répétés de nombre de membres
hojjatiun
faisant d'Ahmadinejad un élément auxiliaire de l'avènement des
temps apocalyptiques précédents le retour de Mahdi. Là encore, le
rôle qu'on octroie au président ne saurait prouver son implication.
Ses agissements pourraient, sans consciemment vouloir servir la
doctrine hojjatieh,
répondre aux exigences hojjatiun
de hâter le retour du Mahdi par la médiation d'une guerre
apocalyptique, celle-là même qui est souvent tapie dans les
discours de Mahmoud Ahmadinejad contre l'Etat hébreux. Notons
d'ailleurs à cet égard, que le président a tout intérêt à
proférer des menaces contre Israël. L'opposition à l'Etat hébreux
forge l'identité même de la nature du régime islamique. Tenir
des propos de haine à l'égard de ce pays est un prérequis pour
faire partie de la sphère politique en République islamique.
L'attention
qu'on peut porter à l'entourage du président reste certainement
l'élément le plus digne d'intérêt. Mahmoud Ahmadinejad n'a jamais
caché son soutien à Mesbâh Yazdi pour succéder à Ali Khâmenei.
De son côté, Mesbâh Yazdi a été l'auteur d'une fatwa intimant
l'ordre aux deux millions de bassidjis8
de voter pour Mahmoud Ahmadinejad en 2005. Surnommé le « Aka »
(le crocodile), l'ayatollâh tient une ligne de conduite politique se
distinguant des doctrines premièrement énoncées par la secte, au
point que de plus en plus d'analystes parlent de « mesbâhiyeh »,
et c'est très certainement cette ligne de conduite politique qui
dessine au mieux les contours du concept de néo-hojjatieh. Comme le
souligne pertinemment Antoine Sfeir dans son article « Les
Quatre Pôles du pouvoir iranien »9,
l'association hojjatieh est désormais un pouvoir dont on ne
peut faire l'économie. C'est un des piliers de l'influence politique
iranienne, bien qu'elle s'oppose à la nature du régime.
En
effet, la doctrine de la société incarne à la fois le paradigme du
détournement politique de la religion traditionnelle, détournement
déjà bien opéré par la République islamique, tout en s'opposant
à la prise du pouvoir politique par le religieux sous la forme du
velâyat-e
faghih.
C'est en fait d'un déplacement du détournement qu'il faut ici
parler. La secte hojjatieh
détourne l'attentisme traditionnel (l'attente du retour de Mahdi) en
lui donnant un contour humanisé : il faut hâter le retour du
dernier imam, et donc agir
pour ce faire. Par contre, il n'est pas question d'ériger un Etat
islamique puisque, selon la tradition, la religion gouvernera sous
l'impulsion de Mahdi, donc à son retour et pas avant. Les
membres de la société hojjatieh
« voyaient d’un mauvais œil l’intervention des ulémas dans la
politique et la sécularisation de la religion : ils répétaient
avec tous la phrase demandant à Dieu [aux petites heures de la
République islamique] de garder Khomeiny jusqu’à la Fin du monde,
mais ils ajoutaient immédiatement un autre slogan pour mettre un
terme à cette attente et neutraliser ainsi le souhait apparent que
le pouvoir khomeyniste s’éternise : ‘imam sauveur, viens vite !
– imam sauveur, viens vite !' (Mahdi
biyâ ! Mahdi biyâ !)
»10.
Le versant eschatologique du religieux, ainsi mis au centre
l'interprétation hojjatieh,
est effectivement en accord avec la condamnation du non-sens
religieux que constitue la République islamique : même
si le concept de velâyat-e
faghih,
sur lequel l’actuel régime iranien se fonde, trouve effectivement
son origine dans la théologie chiite, il faut savoir que la théorie
fondatrice du régime est très moderne : il s’agit d’une
interprétation, ou plutôt d’une sur-interprétation en rupture
avec toute fidélité à la tradition, qu’on doit à l’ayatollah
Khomeyni. Ce détournement politique du concept religieux élargit
considérablement le rôle et les attributions du savant théologien
par rapport à ce que la tradition entendait : normalement, le
théologien a seulement une autorité en matière de lois
religieuses, et, éventuellement, en matière de juridiction, puisque
différemment de ce qu’on peut penser, en Islam chiite, le
politique et le religieux ne sont pas coextensifs, par contre, le
domaine juridique est considéré comme un pendant de la sphère
religieuse.
Extrait.
Article complet dans la revue Eurorient 2013
L'Harmattan
1
Le bahâïsme est une religion récente, issue de la tradition
chiite. Fondée par Mirzâ Hosseyn Ali – aussi surnommé
Bahá'u'lláh, « gloire de Dieu », d’où le nom de la religion -
en 1863, la pensée bahâïe repose sur l’idée eschatologique
d’une avancée de l’humanité vers l’unification dans la
diversité. Si cette idée est étrangère à la théologie chiite,
le point d’ancrage du bahâïsme est lui bien issu du chiisme : le
chiisme repose sur la croyance en douze imams successeurs du
prophète dans la guidance de la communauté, imams dont le dernier
Mahdi, a disparu. Le Bahâïsme est très indirectement issu de la
recherche du dernier imam : le shaykhisme, branche dissidente du
chiisme, se lance dans la recherche physique de Mahdi. Le
Bahá'u'lláh est en fait l’un des disciples du Bâb, considéré
comme l’homme tant recherché par les shaykhistes. Le Bâb,
initiateur du bâbisme, de son vrai nom Mirzâ Ali Mohammad, aura
vite été éliminé par les autorités religieuses chiites qui,
contrairement aux shaykhistes, virent en lui un usurpateur. Du temps
de la diffusion de sa parole, ce dernier expliquait, toujours sur un
modèle eschatologique hérité du chiisme, que l’arrivée de
celui qui unirait les religions du passé était imminente. Son
disciple Bahá'u'lláh annonce être l’incarnation de la
concrétisation de cette prophétie. Le Bahâïsme est né ; et la
direction de la communauté des fidèles se transmet, comme dans le
chiisme imamite iranien, de père en fils… D’où le danger
théologique du bahâïsme pour la croyance chiite duodécimaine.
2
C'est suite à un discours vindicatif prononcé le 12
juillet 1983 par Khomeyni, que la société annonça sa dissolution
le 27 juillet 1983 . Le guide de la Révolution dit, en désignant
tacitement la secte : «
Ceux qui croient que nous devrions laisser les péchés
s’accroître jusqu’à la réapparition du douzième Imam,
doivent modifier ou reconsidérer leur opinion... Si vous croyez en
notre pays [alors] chassez ces querelles intestines et joignez-vous
à la vague qui amène la nation en avant, sinon elle vous
ruinera. » (KHOMEYNI, Sahifeh-ye
noor, 22
Vol. Vol. 10, Téhéran, Vezarat-e
ershad-e eslami,
1999, p. 222. Traduc. Par Baqer Moin, Khomeyni : Life
of the Ayatollah,
London ; New York I.B. Tauris, 1999).
3
Le cheikh Mahmoud Zakerzadeh Tavallai (1900-1998), plus connu sous
le nom de cheikh Mahmoud Halabi, était un clerc charismatique de
Mashhad.
4
Un autre des noms de la société est hojjatieh mahdaviyeh.
Le terme « mahdaviyeh » est un adjectif désignant
ce qui est relatif à l'Imam Mahdi. Cette appellation met donc
l'accent sur le fondement théologique de la société, prônant une
attente active du retour de Mahdi. Toute volonté d'imposer une
théocratie en son absence constituerait une dénaturation de
l'islam authentique (nous sommes donc dans une position opposée à
celle qui fonde la République islamique, c'est-à-dire le velâyat-e
faghih, la guidance du jurisconsulte).
5
Le velâyat-e faghih est
la guidance du jurisconsulte, c'est-à-dire du théologien. C'est là
le fondement même de la République islamique : le
gouvernement politique par l'instance religieuse.
6
Contre toute attente, le courant de pensée hojjatieh, plus
radicale encore que le concept fondateur de la République
islamique
(le velâyat-e faghih), a non seulement eu droit de cité
sous le régime du Shah, mais a qui, plus est, participé activement
aux opérations de la SAVAK sous Mohammad Reza Pahlavi (Sâzemân-e
Ettela'ât va Amniyat-e Keshvar, « Organisation pour les
renseignements et la sécurité du pays », en d’autres termes, le
service de sécurité intérieure, mais surtout les services secrets
du pays). Cette participation consistait en une lutte contre le
communisme sur le territoire, lutte qui a d’ailleurs valu à ce
mouvement de se développer sous la forme d’une sorte de
mercenariat : en échange de son action contre le communisme,
Halabi, fondateur de la société hojjatieh avait la liberté
de recruter ses membres et de collecter des fonds. Ce partenariat a
d’ailleurs débouché, en la veille de la naissance de la
République islamique, sur le nombre non négligeable de 12000
membres. A l’heure du renversement du régime du Shah, la
collaboration du hojjatieh à la SAVAK ne porta aucun
préjudice à la subsistance de la société : trop tolérant
vis-à-vis de l’ennemi Bahaï selon Halabi, la société hojjatieh
se constitua rapidement soutien au khomeynisme, et ce malgré une
opposition idéologique claire et affirmée (le hojjatieh
hostile au velâyat-e faghih et à l’idée de République).
Il faudra attendre 1983 pour que la société soit officiellement
dissoute (ou plutôt auto-dissoute) suite aux condamnations
implicites de Khomeiny avec pour prétexte ce différend idéologique
sur lequel on avait jusqu’alors fermé les yeux.
7
Etudiant à l'Université de « Science et Industrie » à
Téhéran, M. Ahmadinejad appartenait à un groupe fondamentaliste
très lié au mouvement hojjatieh.
8
Le bassij est une force armée fondée par Khomeyni dès novembre
1979. Il s'agissait de fournir des jeunes (entre 12 et 22 ans)
volontaires du peuple (les campagnes d'enrôlement étaient, il faut
le noter, extrêmement soutenues) aux troupes d'élite pendant la
guerre Iran-Iraq. Après la guerre, il a fallu reconvertir cette
force armée qui devient désormais une branche des gardiens de la
révolution. Des militaires théoriquement mobilisés en vue de
maintenir le régime dans sa prime jeunesse et encore aujourd'hui
dans sa déstabilisation par les masses populaires.
9
« Les Quatre Pôles du pouvoir iranien », Etudes,
2011/3 Tome 414, p. 295-306.
11“
Shi'ite supremacists emerge from Iran's shadows ”, in Asia
Times, 9 septembre 2005.
12Les
membres de l'association se sont notamment dispersés dans les rangs
de la
Jamiat-e
Motalefeh eslami
(Société
de
la Coalition islamique), « mais sont demeurés discrètement
actifs. Des informations durant ces dernières années
faisaient
d'ailleurs état de la renaissance de la société même si ces
néo-hojjatieh
ne seraient plus tant anti-bahâïs qu'anti
sunnites ».
RIGOULET-ROZE David, L'Iran
pluriel, regards géopolitiques,
l'Harmattan, 2011, p. 28.
13
On ne peut faire l'économie du fait que sur les vingt-et-un
ministres du premier cabinet du mandat présidentiel de Mahmoud
Ahmadinejad, trois avaient des liens avec la société hojjatieh :
Gholam Hossein Mohseni-Ejehyi, Mesbâh Yazdi et Mostafâ
Pour-mohammadi (RIGOULET-ROZE
David, L'Iran
pluriel, regards géopolitiques,
l'Harmattan, 2011, p. 29).
Commentaires
Merci encore pour cet article
Je connais peu ce sujet, bien que j'ai des bases grace à l'auteure de ce blog, de cet article.
Pour un neophyte, j'ai compris je pense l'essentiel, l'essence de ce texte que j'ai trouvé clair, pas mal expliqué, et pas du tout reservé aux "spécialistes".
et c'est en effet très instructif