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Affichage des articles du octobre, 2008

L’UNESCO accueille l’exposition scientifique d’Iran.

Une exposition sur les performances de la recherche scientifique et technologique iranienne se tiendra au siège de l’UNESCO, à Paris du 2 au 6 février 2009. Le directeur général des sciences, de la recherche et des technologies au département du ministère des relations publiques, Hashem Dadashpour, a été désigné par l’agence d’information de la République islamique d’Iran (INRA), pour annoncer que l’événement faisait partie du programme-anniversaire de la Révolution islamique de 1979. La commission nationale iranienne de l’UNESCO, qui est affiliée au ministère, est le principal organisateur, ainsi que le responsable de la planification, et, bien évidemment, du versant politique de la tenue de l’événement. L’accent à été mis sur le fait que tous les instituts, organisations, universités et centres de recherches et de technologie pouvaient soumettre les plus remarquables de leurs travaux de recherches au secrétariat de la commission nationale de l’UNESCO de sorte qu’ils soient présentés

DES INTELLECTUELS KURDES DANS LES COULOIRS DE LA MORT EN IRAN

Ils s’appellent Adnan Hassanpour, Abdolvahed Hiva Botimar. Ils sont journalistes. Ils sont condamnés à mort pour « inimitié à l’égard de Dieu »1. Ils s’appellent Farzad Kamangar, Ali Heydariyan, Farhad Vakili, Enwer Hüseyn Penahi et Erselan Ewliyayi. Ils sont professeurs. Ils sont condamnés à mort pour « inimitié à l’égard de Dieu ». D’ailleurs, un deuxième jugement l’a bien confirmé pour Enwer Hüseyn Penahi et Erselan Ewliyayi : ils sont bien des contradicteurs de Dieu. Ces jugements ont bien respecté les normes internationales d’équité : pour exemple, le procès de Farzad Kamangar a duré un peu plus de cinq bonnes minutes. La République islamique d’Iran est une démocratie. Le peuple nage dans une telle liberté d’opinion que les opposants politiques n’existent pas. Pour exemple, pendant la révolte qui a secoué le pays en 1999, contre ce même Etat démocratique depuis 1979, l’acteur Payam Amini, grand acteur iranien révolté, avait dû être accusé pour « viol et meurtre de dames âgées ». L