Accéder au contenu principal

IRAN : LE CHOIX DEMOCRATIQUE !

lundi 29 juin
Ouverture des portes à 17h30
Mairie du 13e
1, place d'Italie
75013 PARIS
Standard: 01 44 08 13 13

Pour la première fois à la même tribune, ces personnalités iraniennes venues d’horizons politiques différents,
plaident en faveur d’un Iran démocratique et laïque se référant à la déclaration universelle des droits de l’Homme et
garantissant l’égalité de tous les citoyens, notamment les hommes et les femmes.

Akbar Atri, leader du mouvement étudiant en 1999 et 2003, fondateur de l’organisation étudiante pour la
démocratie et les droits de l’homme

Ladan Boroumand, directrice de la Fondation pour la promotion des droits de l’homme et de la démocratie en Iran
Chahla Chafiq, sociologue et féministe

Chahdortt Djavan, écrivain et féministe

Setâre Enayatzadeh, universitaire
Prince Reza Pahlavi,

Mohsen Sazegara, fondateur des Gardiens de la Révolution, puis animateur du mouvement réformateur jusqu’en 2003.

Une soirée organisée par la revue Le Meilleur des mondes et la Confédération étudiante.
Introduction :
Richard Descoings, directeur de l’Institut d’Etudes Politiques de Paris

Animation :
Julie Coudry
Michel Taubmann

Avec le soutien et/ou la participation de :
Fadela Amara, secrétaire d’Etat à la Ville
Martine Benayoun, vice-pdte de la LICRA
Laurent Bérail, conseil économique et social, syndicaliste
Pascal Bruckner, philosophe
Jean-Louis Bianco, député PS, pdt de la mission parlementaire sur l’Iran
Bernard Debré, député UMP
Gilles Finchelstein, directeur général de la Fondation Jean Jaurès
Romain Goupil, cinéaste
Sihem Habchi, pdte de Ni Putes Ni Soumises
André Glucksmann, philosophe
Raphaël Haddad, pdt UEJF
Jack Lang, député PS
Bernard-Henri Lévy, philosophe
Corinne Lepage, députée européen, Modem
Jacky Mamou, ancien pdt de Médecins du Monde
Richard Prasquier, pdt du CRIF
Dominique Reynié, directeur général de la Fondation pour l’Innovation politique
L’ESG, Ecole supérieure de Gestion
Mohamed Sifaoui, journaliste
Dominique Sopo, pdt de SOS-Racisme
Manuel Valls, député PS
Rama Yade, secrétaire d’Etat aux droits de l’Homme,
Baki Youssoufou, pdt de la Confédération étudiante
François Zimeray, ambassadeur des Droits de l’Homme

Commentaires

Anonyme a dit…
bonjour madame anaytzadeh
j'esper tout va bien chz vous
je peux demander votre email si possible bien evidement

Posts les plus consultés de ce blog

Diaspora juive et diaspora iranienne.Vues des iraniens de France sur les Juifs et sur Israël.

Le précédent numéro esquissait une introduction comparative entre la diaspora iranienne et la diaspora juive. Quelques questions portant notamment sur l’avis des iraniens de France quant à la politique anti-israélienne de leur pays d’origine avaient été posées. Nous comptons apporter ici des réponses élaborées à partir de propos recueillis auprès d’iraniens de France issus de milieux très différents, et de confessions différentes [1] . Il s’agit plus ici d’une investigation analysée que d’une analyse théorique. Les iraniens de France partagent-ils la position d’Ahmadinejad sur l’illégitimité de l’existence de l’état hébreux ? Quels sont leurs rapports avec les membres de la diaspora juive de France ? Ont-ils la même définition de l’identité que les juifs de France ? Les positions politiques et les mentalités des iraniens de France sont-elles très différentes de celles de leurs familles restées en Iran ? Pour pouvoir ériger des réponses générales, pour arriver au plus près de la réalité

CETTE ETOILE A MON BRAS

A commander sur : http://www.chapitre.com/CHAPITRE/fr/BOOK/enayatzadeh-setare/cette-etoile-a-mon-bras-roman,28589243.aspx « Nous étions nombreux à avoir ce gène ethniquement transmissible du nom de judaïsme... Vivre avec, c'était rejoindre le clan des anormaux, des handicapés, des sous-hommes. C'est la raison pour laquelle on avait décidé pour notre bien qu'il était préférable d'être mort. Vivre avec une telle tare c'était comme avoir l'apparence d'un homme sans en avoir la dignité (…) Alors j'ai tout simplement décidé de commettre le crime pour lequel on m'avait accusé à tort, histoire de n'être pas condamné pour rien: j'ai endossé la déloyauté qu'on attribue généralement aux juifs, j'ai changé de nom et de pays pour, dans un premier temps, échapper à l'ennemi alors qu'il n'était pas assez puissant pour m'arrêter… » Heinrich fuit sa vie pour dessiner l’histoire de sa mort. Il est vite rattrapé par le devoir, et ce der

Martyrophilie, martyropathie : l’égoïsme idéologique moderne

Amélie Chelly, EHESS Néologisme ? Barbarisme ? Il semble pourtant évident que les termes de martyrophiles et de martyropathes devraient entrer plus idéal-typiquement dans les essais sociologiques. En effet, la martyropathie est un phénomène qui, plus que jamais, trouve sa place dans le monde moderne comme son absolu négateur. Les médias ont pris pour habitude d’appeler certains martyropathes « kamikazes », mais suivre la verve journalistique dans son élan serait se prêter à l’exercice de l’anachronisme, de l’abus de langage et de l’amalgame . Le kamikaze, c’est le japonais de la seconde guerre mondiale qui, sachant qu’il y laisserait sa vie, s’écrasait sur les cibles jugées stratégiques, pour servir son pays. D’ailleurs le terme «  kami  » - l’esprit, au sens divinisé du terme – «  kazé  » - du vent – ne laisse que peu de place à une définition autre de celle originellement puisée dans un contexte historique : l’esprit du vent, porté par le sacrifice. Alors qui sont les nouvea